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  Il n’y a pas de fête sans musique, et dans ce domaine encore Tourcoing s’illustre. Dès 1805, la ville eut sa Société philharmonique, dissoute en 1853, mais rapidement remplacée (1855) par sa Musique municipale. Le centenaire de celle–ci provoqua donc de grandes manifestations en juillet 1956, d’autant plus que se déroulaient en même temps les Grandes fêtes de Tourcoing. Un mémorable cortège défila de la gare à la mairie. Lors d’une réception à l’Hôtel de ville, l’Harmonie reçut l’Etoile centenaire qui fut épinglée sur son drapeau. Les Cricks–Sicks composent une autre phalange musicale tourquennoise de grande renommée. Cette société d’orphéon fondée en 1852, forme une chorale de premier choix, qui remporta de nombreux prix aux différents concours et festivals auxquels elle participa. Tourcoing organisa d’ailleurs ce genre de spectacles : des festivals d’harmonies, de fanfares et d’orphéons, ou des festivals d’harmonies militaires et de fanfares. Si la Musique municipale et les Cricks–Sicks sont les plus anciennes sociétés musicales de la ville, elles ne sont srement pas les seules. Bien d’autres noms se sont imposés comme la Clique scolaire, les Orphéons des travailleurs, les Signoras Mandolinos et bien d’autres. Chaque quartier, lors des différentes fêtes, est représenté par son harmonie ou sa fanfare : la fanfare "Les Intimes", la Fanfare cycliste de la Marlière, l’Harmonie du Point–Central, du Blanc–Seau, du Brun–Pain, de la Croix–Rouge (la Concordia), la Fanfare du Petit–Château. Toutes ces musiques participent en particulier aux concerts d’été qui se déroulent tous les ans. Après cette liste non exhaustive, on imaginera facilement l’ambiance enjouée qui régnait lors des banquets de la Sainte Cécile, patronne des musiciens.
http://www.tourcoing.fr/
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