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Dès 1923, la municipalité désire la création d’une nouvelle piscine moderne et sportive. Ouvert en 1930, ce Stade nautique a une orientation nettement compétitive : outre l’extension de la natation à toutes les écoles de Tourcoing et aux écoles d’enseignement secondaire et supérieur, il doit servir à l’entraînement des Enfants de Neptune et permettre l’organisation d’épreuves sportives. Un couloir souterrain reliait ce Stade nautique aux Bains municipaux situés en face. L’inauguration du Stade, enfin pourvu de sa toiture, a lieu en 1963.


En 1905, le Comité d’organisation de l’Exposition Internationale des Industries Textiles (1906) propose la construction d’un gymnase qui doit lui permettre d’installer une exposition de Beaux–Arts avec plus de sécurité que sur les lieux même de l’Exposition. L’architecte est M. Sevin et l’inauguration officielle se fait lors de la Fête fédérale de gymnastique. Outre des installations sportives, elle propose une salle de musique et une buvette.


Construits à l’initiative de Gustave Dron, ils doivent permettre aux enfants des écoles d’apprendre à nager grâce à la méthode de natation de Paul Beulque ; ils font aussi la promotion de l’hygiène (baignoires, douches, soins hydrothérapiques) et de la culture physique (gymnastique médicale et orthopédique).


Aménagé dans les années 1930, il s’enrichit dans les années 1960/70 de nouvelles installations d’athlétisme répondant aux normes olympiques et de tribunes fixes.


Initialement installé dans les locaux de l’Hôpital (rue Nationale), le Bureau de Bienfaisance déménage pour permettre à ce dernier de s’agrandir. La construction d’un nouveau bâtiment est décidée sur un terrain au coin des rues de la Bienfaisance et du Printemps (aujourd’hui rue Gabriel Péri), qui est prévu aussi pour la mise en place d’un établissement de Bains. Des consultations médicales et des distributions de soupes y sont notamment organisées. Il prend ensuite le nom de Bureau d’Aide sociale, puis celui de Centre Communal d’Action Sociale (1975).


Dès 1846 l’Hôpital permet d’accueillir les malades et les blessés et abrite aussi le Bureau de Bienfaisance. Rapidement on voit l’addition d’une chapelle mortuaire, de cellules d’aliénés, d’un bâtiment pour incurables et d’une étuve de désinfection. Fin XIXème siècle, de nouveaux pavillons sont organisés, notamment pour les maladies contagieuses, et les maladies de la peau ; une maternité et un pavillon des bains sulfureux sont ouverts. Vers la fin de ces travaux d’aménagement, en 1894, 6000 habitants protestent contre l’enlèvement d’une statue de Saint Vincent de Paul figurant sur la façade de l’hôpital. Sa démolition survient en 1988, le Centre Hospitalier Général Guy Chatilliez concentrant désormais les services.


En 1260, lorsque Mahaut de Guisnes fonde un hospice, il est destiné à abriter les pauvres. Il est confié au XVIIème siècle aux " Soeurs grises de Comines " : un cloître, un réfectoire, un dortoir, une école de filles, un pensionnat, une chapelle, une boulangerie, une brasserie, une vacherie, et huit logements pour vieilles femmes complètent peu à peu les bâtiments initiaux. Après une fermeture pendant la Révolution française, l’établissement est réouvert en 1801 et quelques temps après, en 1822, un hospice accueille des orphelins. En 1850, l’Hospice général est créé et les Soeurs grises remplacées par les Soeurs de l’Enfant Jésus.L’établissement a été récemment désaffecté et les personnes âgées transférées au pavillon Mahaut de Guisnes de l’hôpital Guy Chatilliez (1998).


Au début du siècle le Conseil municipal décide de construire un Sanatorium pour les malades et les convalescents de la Ville. Il doit permettre notamment de lutter contre les ravages causés par la tuberculose. Installé à la périphérie, il permettait d’accueillir les convalescents, les tuberculeux, les femmes avant ou après leur accouchement. Les malades et convalescents bénéficient de vastes jardins.
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